On aurait tendance à se dire que les injections de produits de comblement c’est un peu comme le tabac. Donc, plus on commence tôt, plus on aura du mal à s’arrêter. Mais attention à l’addiction à la chirurgie esthétique!
D’où l’importance de savoir dire non au patient. Avant l’intervention de médecine ou de chirurgie esthétique, nous devons veiller que la demande du patient soit justifiée et raisonnable. L’expliquer ou savoir aiguiller vers une option plus adaptée relève de la conscience professionnelle du chirurgien esthétique.
Le piège à éviter ; la dysmorphophobie !
La dysmorphophobie, une pathologie que le chirurgien esthétique doit savoir détecter
Cette pathologie d’origine psychique dont souffrent certaines personnes est caractérisée par la vision d’une image faussée et déformée.
Souffrant de troubles les persuadant d’avoir un ou plusieurs défauts physiques, les dysmorphophobiques font de cette préoccupation liée à l’apparence physique un élément central de leur vie, souvent indépassable et causant des réactions irraisonnées.
Afin de tenter de remédier à la maladie, certains individus atteints de ce syndrome fortement invalidant se tournent vers la modification artificielle de leurs traits ou de leur enveloppe corporelle, solution qu’ils considèrent comme la plus à même de faire disparaître tous leurs maux.
Malheureusement, ce choix s’avère souvent catastrophique : il multiplie les risques engendrés par la chirurgie esthétique et ne s’attaque pas au problème de fond, d’origine psychique….
C’est pour cette raison, qu’avant une intervention, il sera conseillé de parler longtemps de votre projet et surtout de ne pas passer à « l’acte »sur un coup de tête.
D’où l’importance d’une première consultation qui permettra d’en parler. Le Docteur Bayol vous proposera de façon objective le traitement approprié en fonction de vos besoins. À Laclinic Montreux, il s’agit toujours des traitements les plus innovants.